Pas de deux pas de
Duo chorégraphique pour projecteurs de lumière informatisés, 2016
Samuel Bianchini
À partir d'une interprétation libre d'une partition de l'acte III du Lac des cygnes
Chorégraphie Ivanov – Petipa – Sergeyev
Recherche et programmation pour l'interprétation de la lumière : Alexandre Saunier
Notation chorégraphique (analyse de la partition Laban originale et adaptation) : Amandine Bajou
Un projet réalisé pour la Nuit Blanche 2016 de Toronto
Production : Ville de Toronto
Commissariat : Louise Déry
Remerciements : Asad Raza, Dan Surman, Jonathan Tanant
Ce projet utilise Mobilizing.js, un environnement de programmation pour les artistes et les designers développé par EnsadLab (Laboratoire de l'École nationale supérieure des Arts Décoratifs, PSL Research University, Paris).
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Pas de deux pas de, Samuel Bianchini, 2016
Nuit Blanche, Toronto, octobre 2016
Photographies : © Samuel Bianchini - ADAGP
Pas de deux pas de est un duo chorégraphique pour deux projecteurs de lumière. Telles des poursuites utilisées dans le spectacle vivant pour suivre et souligner l'accomplissement d'un performeur sur scène, ces deux mêmes appareils projettent un faisceau de lumière blanche. Leurs faisceaux se donnent ainsi à voir à l'échelle de la ville, dans le ciel, aux alentours et, surtout, s'éclairent l'un l'autre. Les machines se montrent, s'évitent, se cherchent mutuellement, se synchronisent, ou pas. Cette fois, ce sont elles qui sont sur scène. Les poursuites censées mettre en lumière des performeurs ont pris la place de ces derniers. Ces projecteurs à taille humaine tentent d'interpréter, sous les étoiles, un duo amoureux sans conclusion, un pas de deux sans fin, jusqu'au bout de la nuit, en bordure du Lac Ontario.
“Adage”, “variations”, “coda”, comment faire accomplir à ces machines des figures de danse ? Comment pourraient-elles incarner des mouvements et même des sentiments humains ? Si elle ne sont plus célibataires, peuvent-elles évoluer en couple ? Comment interpréter l'un des premiers et plus célèbres “pas de deux”, celui du Lac des Cygnes, à partir d'une partition chorégraphique traduite pour ces machines ? Et comment ces dernières, s'exécutant dans l'espace public, peuvent-elle prendre en compte leur environnement qui pourrait les contrarier, les intimider ou, au contraire, détourner leur attention, à la manière de ces danseurs, bien humains, qui interprètent en proximité une pièce chorégraphique de Paul-André Fortier ?
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Pas de deux pas de, Samuel Bianchini, 2016
Nuit Blanche, Toronto, octobre 2016
Photographies : © Samuel Bianchini - ADAGP